mercredi 2 mai 2012

Voici ma réaction face au chapitre deux


Mais qui est à blâmer alors?



« Il n’y a pas l’ombre d’un doute que la population est à blâmer. » J’ai gardé cette phrase en tête tout au long de ma lecture du chapitre 2 du livre de Ronald Wright. Ce que je retiens de ce chapitre, c’est que, comme pour toute autre chose, il y eut un début. Par la suite, les gens ont trop profité de la situation, puis après très peu de temps, les conséquences sont apparues, notamment l’extinction de certaines espèces, ce qui a parfois entraîné la famine, qui à son tour, a poussé les êtres vivants à trouver d’autres solutions afin d’assurer leur survie. Grâce à l’expérience et parfois par pur accident, pour les graines par exemple, les gens ont été sauvés par l’agriculture. Je ne sais pas ce qui serait arrivé si les humains n’avaient pas accidentellement fait tomber des graines, mais je crois qu’ils auraient probablement trouvé une autre solution, cela fait partie de notre instinct. Ce que j’ai compris de ce chapitre, c’est qu’il existe une espèce de cycle : les mêmes choses se reproduisent à divers endroits dans le monde, à des époques différentes. Je crois bien que c’est ce qui va arriver aussi pour l’agriculture. Nous savons que l’agriculture est maintenant le fondement de l’économie mondiale. Au cours des ères précédentes, c’était la chasse, mais les gens en ont tellement profité qu’ils ont causé la disparition de plusieurs animaux. Tim Flannery a qualifié les êtres humains de « mangeurs d’avenir ». Avouons que c’est un peu épeurant et je ne voudrais pas qu’il ait raison, mais il est vrai que si les gens ne changent pas leur mode de vie, nous allons tout droit vers un gouffre. Je crois aussi qu’il ne faut pas tenir pour acquis ce que nous avons, dont l’agriculture, car justement tout peut nous filer entre les mains très facilement. Bref, le chapitre 2 démontre que si les humains continuent d’exagérer, ils risquent de perdre beaucoup. Les conséquences de la surconsommation sont lourdes.

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