Questions pour le blog : 30 avril 2012
Je me suis inscrite au cours Comment
survivre au progrès? d’abord par intérêt, mais aussi pour plusieurs autres
raisons. Je dois avouer que l’idée d’un cours en bloc m’intéressait, étant
curieuse de voir comment les professeurs s’y prendraient pour en livrer le contenu.
Je me suis questionnée sur la façon dont nous allons participer, sur les tâches
que nous aurons à effectuer en si peu de temps ainsi que sur la manière de nous
évaluer. Ensuite, il faut dire que le progrès est un sujet très actuel; il
porte à réfléchir. Après le premier cours, je peux dire que je suis satisfaite,
car plusieurs de mes questions ont trouvé réponse. En fait, je crois fermement
que ce cours va m’enrichir, et ce, grâce aux discussions de groupe et aux personnes
qui viendront partager avec nous leur conception du progrès. Je pourrai ensuite
faire connaître le sujet aux gens de mon entourage afin qu’ils progressent à
leur tour!
La vision du progrès est très complexe et peut même être personnelle.
C’est ce que j’en déduis suite aux nombreuses interventions effectuées lors du
premier cours. Déjà, j’en arrive à formuler ma propre définition du progrès. Pour
moi, le progrès signifie un avancement, un développement, une amélioration, une
progression. Ces mots sont des synonymes très positifs pour décrire un
phénomène complexe, mais il faut ajouter que le progrès peut également
signifier une régression ou une conséquence négative. Il est évident que le
progrès comporte autant de bons que de mauvais côtés. Les mauvais côtés du
progrès se traduisent parfois par un désir intense de toujours vouloir plus,
sans se soucier des autres; c’est là où se trouve le problème avec le progrès. Il
arrive donc, dans la société, que seulement quelques groupes gèrent certains domaines
et en profitent largement, ce qui engendre des problèmes, par exemple la faim
dans le monde et la crise du pétrole. Par ailleurs, il est impossible de dire
avec exactitude quand et où le progrès a commencé, mais une chose est certaine,
nous ne savons pas comment ni à quel moment il va finir; nous le vivons tous
les jours. Par exemple, sur le plan de la technologie, des idéologies, des
relations sociales et de la médecine, des progrès sont réalisés quotidiennement.
Je me suis donc inscrite au cours Comment
survivre au progrès? pour satisfaire ma curiosité, en étant bien consciente
que la définition que donne aujourd’hui au mot « progrès » va
sûrement changer d’ici les trois prochaines semaines, puisque j’aurai
approfondi mes connaissances dans différents domaines.
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